Manipulating search engines for profit become a serious problem (Brin & Page 2000)
1 Octobre 2007
Je sais bien que la tendance c'est de s'extasier sur les produits Apple. Mais je fais fi de la mode et j'ai opté pour le changement. Me voilà dans le monde de Linux avec un tout nouveau Vaio de Sony 13'.
En suivant les indication de ce petit quizz (trouvé via le blog de Mathieu Thollet) et en recoupant avec nos informaticiens qui ont déjà déployé cet environnement sur plusieurs postes de l'entreprise, j'en suis arrivé à choisir Kubuntu. Exit le Vista installé de base avec son Norton indéboulonnable qui m'exaspère.
J'avais déjà expérimenté Linux sur mon PC d'étudiant, il y a une dizaine d'années maintenant. J'avais abandonné, vraiment dégouté car aucun driver n'existait alors pour ma carte ethernet. Et Linux sans le web c'est un peu comme un iPhone sans abonnement téléphonique: on peut dire qu'on l'a pour faire in, mais on ne s'en sert pas plus que d'un couteau suisse.
Même les ours codeurs spécialistés en couches bas niveau de la résidence étudiante, n'avaient pas réussi à me solutionner ce problème. Et je n'avais pas envie de payer une autre carte juste pour une histoire de pingouin instable.
Il m'a donc fallu une bonne dizaine d'années avant de surmonter mon aversion suite à cet échec. Il parait que c'est à peu près la durée standard pour qu'une marque regagne la confiance des consomateurs déçus.
Et quelle surprise ! Les distributions de Linux sont vraiment devenues abordables techniquement pour un utilisateur moyen. Une bonne partie de mes applications étant en ligne, la migration se déroule finalement assez simplement.
Reste que j'aurais pu choisir une distribution d'un éditeur français, plutôt qu'un dérivé d'Ubuntu dont la philosophie fait polémique. Cela sera pour ma prochain réinstallation sans doute !